mardi 24 décembre 2013
samedi 21 décembre 2013
Photo de la semaine (44)
En passant à Aix en Provence
Petite moisson festive
Joyeux Noël chers amis d'Amartia
dimanche 15 décembre 2013
Photo de la semaine (43 bis)
Hier samedi, les rues du centre ville étaient envahies - c'est qu'il y avait des spectacles de rue
dont nous sommes tous friands :
comment résister à la sardane incontournable
et puis"Un accordéoniste,
au coin d'la rue là-bas ..."
devant le petit bar où il fait bon perdre son temps
Sur le chemin du retour, en passant place de la Loge où siège l'Hôtel de Ville,
les personnages des contes de notre enfance se prêtent avec grâce aux désirs de photo des petits et des grands
Et si l'on poursuit sa route, accompagné de musique et de chants, du côté de la cathédrale ...
on assistera au départ d'enfants juchés sur des ânes aux doux regards, pour un petit tour
dans les ruelles du quartier ...
Voir aussi : http://helene-dzovinar.blogspot.fr/2013/12/photo-de-la-semaine-43.html
au coin d'la rue là-bas ..."
Dans la vitrine tout ce qu'il faut pour garder les pieds au chaud au pays des rennes ...
Et toujours, Vénus ravissante ...devant le petit bar où il fait bon perdre son temps
Sur le chemin du retour, en passant place de la Loge où siège l'Hôtel de Ville,
les personnages des contes de notre enfance se prêtent avec grâce aux désirs de photo des petits et des grands
Et si l'on poursuit sa route, accompagné de musique et de chants, du côté de la cathédrale ...
on assistera au départ d'enfants juchés sur des ânes aux doux regards, pour un petit tour
dans les ruelles du quartier ...
Voir aussi : http://helene-dzovinar.blogspot.fr/2013/12/photo-de-la-semaine-43.html
samedi 14 décembre 2013
Photo de la semaine (43)
Esprit de Noël à Perpignan
suite ...
Dans la Cathédrale Saint-Jean
au fond, à gauche ...
... la crèche qui donnera lieu au rituel de "tableaux vivants"
accompagnés de musique et de chants célébrant la nativité.
Sur la place, devant la cathédrale, ours polaire
et manchot, pour le dépaysement ...
dans les ruelles piétonnes, la chasse est ouverte ...
la tenue de fête pour le plaisir, les cadeaux pour les siens
les personnages qu'il faut remplacer
pour la crèche devant le sapin
et pour un moment de répit, ce bar-café
niché dans le patio d'un vieil immeuble où trône une vénus parée pour la fête ...
supplément ici : http://helene-dzovinar.blogspot.fr/2013/12/photo-de-la-semaine-43-bis.html
Les amis de la photo de la semaine vous attendent ici :
http://mesinstantanes.blogspot.gr/
supplément ici : http://helene-dzovinar.blogspot.fr/2013/12/photo-de-la-semaine-43-bis.html
Les amis de la photo de la semaine vous attendent ici :
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samedi 7 décembre 2013
Photo de la semaine (42)
Le Castillet a revêtu ses atours de fête ...
- le petit pont qui enjambe le canal de la Bass
... se mire dans l'eau -
Depuis le Castillet
jusqu'à la Place Arago
où tournent, inlassables, les traîneaux du Père Noël, entretenant pour les petits la magie de la proche nuit de Noël,
le décor est planté ...
...pour tout un mois où lumière, musique, tout l'apparat de Noël distilleront plaisir, rêve, ces petits bonheurs qui masqueront un moment la grisaille de temps incertains ...
...pour tout un mois où lumière, musique, tout l'apparat de Noël distilleront plaisir, rêve, ces petits bonheurs qui masqueront un moment la grisaille de temps incertains ...
samedi 30 novembre 2013
Photo de la semaine : "CENTIEME" !
Sur les routes d'Arménie
Sculpture"Les lettres de fer" (alphabet arménien)
Artsakh (Haut Karabagh) - "petite soeur de l'Arménie"
Miel servi dans un petit restaurant d'Artsakh
Festival "Visa pour l'image" à Perpignan
Pastel - Dzovinar
En cliquant sur ce lien : tous les autres participants "amartiens" !
dimanche 17 novembre 2013
Photo de la semaine (41)
Grande Place des Terreaux à Lyon :
Magnifique fontaine (clin d'oeil à la fontaine de Trévise de Rome ?)
A propos du cheval, un seigneur, compagnon aimé et respecté de l'homme (mais pas toujours ...) :
Extrait du livre "Chevaux" de Yann Arthus-Bertrand et Jean-Louis Gouraud
"L'Eurasie, berceau du cheval
Si le cheval a un berceau, et sa domestication une patrie, c'est en Eurasie qu'ils se trouvent. Les immensités steppiques, qui vont, grosso modo, de la Mongolie à la Hongrie, ont vu, en effet, le petit équidé préhistorique devenir le cheval tel qu'on le connaît aujourd'hui. Et même si nul ne sait avec précision ni quand (voici quatre mille ans ? cinq mille ans ?), ni comment l'homme est enfin parvenu à soumettre le bel animal, il est (presque) certain que cet événement considérable a eu lieu dans la région : au nord de la mer Noire, probablement dans l'actuelle Ukraine.
Bien qu'elle soit encombrée de mille légendes (et c'est tant mieux, car le cheval est, en effet, un animal fabuleux), l'histoire des équidés commence tout de même par quelques certitudes scientifiques. On ignore s'il y avait des chevaux au paradis terrestre, s'il y avait des chevaux dans l'arche de Noé - la Bible ne le précise pas -, mais on sait que l'origine de l'espèce remonte à des temps très anciens : soixante-dix millions d'années (environ).
Le cheval n'était alors, affirment les paléontologistes, qu'une bestiole pas plus grande qu'un chien, qui gambadait en Amérique, à laquelle on a donné le joli nom de eohippus : «le cheval de l'aurore». Un beau jour, voici trois à quatre millions d'années, ce petit cheval de l'aube des temps cessa, allez savoir pourquoi, de se plaire sur le continent américain. Il émigra vers l'ouest, franchit l'isthme devenu, beaucoup plus tard, le détroit de Bering, et pénétra sur un vaste territoire qui lui convint si bien qu'il décida d'y rester. Dans ces immensités eurasiatiques, il se mit à prospérer, à prendre de la taille -jusqu'à devenir equus, le cheval tel que nous le connaissons aujourd'hui - et, de là, à conquérir le monde. Sa présence dans nos contrées est avérée dès le paléolithique supérieur : les superbes fresques découvertes récemment (1995) dans la grotte Chauvet datent de trente mille ans. Elles représentent des animaux qui ressemblent, de façon troublante, aux petits chevaux sauvages que Nicolaï Mikhaïlovitch Prjewalski aperçut, au cours de son troisième voyage en Asie centrale (1879-1880), sur «les terrains les plus rudes du désert de Djoungarie», région mongole (actuellement en territoire chinois) située entre l'Altaï et le Tien Chan.
Appelé takhi par les Mongols, et kertag par leurs voisins Kirghizes, ce lointain descendant du cheval préhistorique est aujourd'hui connu sous le nom de son découvreur, le cheval-de-prjewalski. Les spécimens que l'on peut, de nos jours, contempler dans la plupart des parcs zoologiques du monde, sont nés et ont été élevés en captivité. Même si les tentatives de remise en liberté, en Mongolie, mais aussi en Europe, finissent un jour par donner un résultat, jamais plus on ne pourra en parler comme de chevaux véritablement sauvages : les derniers takhis et les derniers tarpans (leurs cousins d'Europe) vivant hors toute intervention humaine ont disparu au début du XXe siècle.
En Mongolie, la principale qualité recherchée chez un cheval est son endurance. Aussi la sélection se fait-elle par des courses souvent très éprouvantes (jusqu'à 40 km de distance), dont les plus spectaculaires sont courues chaque année en juillet, à l'occasion d'une fête traditionnelle, un naadam, devenue fête nationale. Afin de pouvoir juger les capacités du cheval, plus que l'habileté du cavalier, seuls des enfants, parfois très jeunes, garçons ou filles, tiennent le rôle du jockey."
Si le cheval a un berceau, et sa domestication une patrie, c'est en Eurasie qu'ils se trouvent. Les immensités steppiques, qui vont, grosso modo, de la Mongolie à la Hongrie, ont vu, en effet, le petit équidé préhistorique devenir le cheval tel qu'on le connaît aujourd'hui. Et même si nul ne sait avec précision ni quand (voici quatre mille ans ? cinq mille ans ?), ni comment l'homme est enfin parvenu à soumettre le bel animal, il est (presque) certain que cet événement considérable a eu lieu dans la région : au nord de la mer Noire, probablement dans l'actuelle Ukraine.
Bien qu'elle soit encombrée de mille légendes (et c'est tant mieux, car le cheval est, en effet, un animal fabuleux), l'histoire des équidés commence tout de même par quelques certitudes scientifiques. On ignore s'il y avait des chevaux au paradis terrestre, s'il y avait des chevaux dans l'arche de Noé - la Bible ne le précise pas -, mais on sait que l'origine de l'espèce remonte à des temps très anciens : soixante-dix millions d'années (environ).
Le cheval n'était alors, affirment les paléontologistes, qu'une bestiole pas plus grande qu'un chien, qui gambadait en Amérique, à laquelle on a donné le joli nom de eohippus : «le cheval de l'aurore». Un beau jour, voici trois à quatre millions d'années, ce petit cheval de l'aube des temps cessa, allez savoir pourquoi, de se plaire sur le continent américain. Il émigra vers l'ouest, franchit l'isthme devenu, beaucoup plus tard, le détroit de Bering, et pénétra sur un vaste territoire qui lui convint si bien qu'il décida d'y rester. Dans ces immensités eurasiatiques, il se mit à prospérer, à prendre de la taille -jusqu'à devenir equus, le cheval tel que nous le connaissons aujourd'hui - et, de là, à conquérir le monde. Sa présence dans nos contrées est avérée dès le paléolithique supérieur : les superbes fresques découvertes récemment (1995) dans la grotte Chauvet datent de trente mille ans. Elles représentent des animaux qui ressemblent, de façon troublante, aux petits chevaux sauvages que Nicolaï Mikhaïlovitch Prjewalski aperçut, au cours de son troisième voyage en Asie centrale (1879-1880), sur «les terrains les plus rudes du désert de Djoungarie», région mongole (actuellement en territoire chinois) située entre l'Altaï et le Tien Chan.
Appelé takhi par les Mongols, et kertag par leurs voisins Kirghizes, ce lointain descendant du cheval préhistorique est aujourd'hui connu sous le nom de son découvreur, le cheval-de-prjewalski. Les spécimens que l'on peut, de nos jours, contempler dans la plupart des parcs zoologiques du monde, sont nés et ont été élevés en captivité. Même si les tentatives de remise en liberté, en Mongolie, mais aussi en Europe, finissent un jour par donner un résultat, jamais plus on ne pourra en parler comme de chevaux véritablement sauvages : les derniers takhis et les derniers tarpans (leurs cousins d'Europe) vivant hors toute intervention humaine ont disparu au début du XXe siècle.
En Mongolie, la principale qualité recherchée chez un cheval est son endurance. Aussi la sélection se fait-elle par des courses souvent très éprouvantes (jusqu'à 40 km de distance), dont les plus spectaculaires sont courues chaque année en juillet, à l'occasion d'une fête traditionnelle, un naadam, devenue fête nationale. Afin de pouvoir juger les capacités du cheval, plus que l'habileté du cavalier, seuls des enfants, parfois très jeunes, garçons ou filles, tiennent le rôle du jockey."
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dimanche 10 novembre 2013
Photo de la semaine (40)
Les murs peints de Lyon sont connus pour leur diversité et leur beauté. Créés par la coopérative CitéCréation, ils font désormais partie du patrimoine de la ville.
Trois des plus beaux sont en bord de Saône.
Quelques photos de l'un d'eux, "Le mur des lyonnais" réalisée sur 800 m2 sur le quai Saint-Vincent qui longe la Saône, rendant hommage à 31 personnalités qui ont laissé leur empreinte à divers titres : littéraire, artistique, gastronomique.
Ci-dessous l'immeuble qui occupe l'angle de la rue, et dont toutes les façades offrent des trompe-l'oeil saisissants
Détails : Laurent Mourguet et Guignol, Antoine de Saint-Exupéry et Le Petit Prince, les frères Auguste et Louis Lumière ...
L'Abbé Pierre
Bernard Pivot
Sur l'autre pignon, on peut reconnaître, en bas à gauche, le cinéaste Bertrand Tavernier
Etonnante restitution de l'art lyonnais.
A l'opposé, rue Pareille, hommage au peintre Tony Tollet (ci-dessus)
Une admirable réalisation qui vaut le détour.
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