samedi 30 novembre 2013

Photo de la semaine : "CENTIEME" !

Sur les routes d'Arménie
Sculpture"Les lettres de fer"  (alphabet arménien)


Artsakh (Haut Karabagh) - "petite soeur de l'Arménie"
Miel servi dans un petit restaurant d'Artsakh

Festival "Visa pour l'image" à Perpignan
Pastel - Dzovinar

En cliquant sur ce lien : tous les autres participants "amartiens" !

18 commentaires:

  1. L'Arménie, bien sûr, si chère à ton coeur et que tu nous fais découvrir tout au long de ton blog, mais aussi l'un de tes talents, voilà un choix qui te ressemble. Merci de ta participation et bonne semaine à toi.

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    1. Incontournable Arménie pour moi - mais pas seulement.
      Merci Amartia de cette magnifique occasion que représente pour chacun de nous cette idée géniale de "La photo de la semaine) qui permet ainsi de partager ce qui fait de nous notre différence, notre originalité, bref : ce que nous sommes ! Je t'embrasse ... 100 fois !

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  2. Deux chouettes photos et un splendide pastel d'après photo pour gâter Amartia et fêter ce 100e rendez-vous. Bonne semaine

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    1. Les lève-tôt sont déjà à l'oeuvre !
      Merci François ! Je vais à mon tour parcourir les centièmes !
      Bise et belle journée.

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  3. Un beau portrait puisque tu as su rendre ses yeux éteints et sa grande tristesse. Je suis aussi très impressionnée par ses magnifiques lettres de fer! C'est beau et grandiose.
    Merci de nous faire partager l'Arménie, si méconnue!
    Bonne fin de semaine

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    1. Je suis toujours très émue des rencontres avec ceux et celles dont la sensibilité s'exprime à travers leurs commentaires. Merci Gine .

      Je t'embrasse.

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  4. c'est grand et gourmand... mais quelle tristesse dans le regard de cette femme, je reste sur cette note Dzovinar
    belle semaine

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    1. En quittant le Festival "Visa pour l'image", moi aussi, j'étais extrêmement bouleversée et triste d'avoir touché du doigt la misère de si jeunes femmes, des enfants encore, des adolescentes, que l'on prive de leur enfance, de leur jeunesse, à qui l'on réserve finalement un destin sans joie.
      J'espère - naïvement peut-être - qu'en informant selon mes moyens celles et ceux qui n'ont pas le regard posé sur ces parties du monde où les femmes sont si maltraitées - je ferai peut-être quelque chose pour elles..

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  5. Depuis pas très longtemps dans le petit défi d'Amartia, je n'avais pas encore visité ton blog. Ce pays me semble si loin et tellement inconnu pour moi. je suis contente de découvrir ton univers. A bientôt pour la suite; Bises

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    1. Le défi d'Amartia est réussi : grâce à ces échanges -bien improbables - nous pouvons partager quotidien, rêve, préoccupations communes à chacun d'entre nous. Oui, à bientôt et merci.

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  6. Des lettres de fer comme les chaines aux pieds des Anciens d'Arménie, aux yeux de cette enfant offerte au sacrifice en passant par ce rayon de miel brut et doux à la fois, tes choix pour cette 100eme sont tout comme toi, ils font passer les messages avec force et douceur mélées.
    Joli pastel !
    Belle soirée Dzovinar.
    Bises

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    1. Attentive Mireille ! Ce sont tes mots qui sont comme du miel pour moi.
      Un beau dimanche et de grosses bises.

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  7. Bonsoir Dzovinar et merci de nous faire découvrir petit à petit des petits morceaux d'Arménie. Je ne te connaissais pas ce talent de dessinatrice et ton pastel m'a semblé très dur après la douceur du miel que l'on imagine dans cette belle pâtisserie. Tu as vraiment bien rendu ce regard de femme soumis et triste .
    Bonne soirée à toi. Bisous.
    Comment pourrais-je écrire "Bisous" en arménien avec de belles lettres de fer ?

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    1. "համբույր" : que je dépose avec plaisir et conviction sur tes joues !

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  8. Un très joli choix qui s'imposait ! Ce portrait est superbe ... mais quelle tristesse dans le regard de cette femme, on le dirait éteint ...
    Très belle soirée !
    Grosses bises
    Cathy

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  9. Oui Cathy, son regard est éteint :
    "Inde du Nord. - Sarita (15 ans), ruisselante de sueur et de larmes, s'apprête à partir vers son nouveau foyer avec son mari.
    Sarita et sa soeur Maya (8 ans) ont été mariées la veille à deux frères."
    - Dans ces pays loin de nous et de notre culture, de notre émancipation, ces si jeunes filles n'ont aucun choix. Elles doivent subir le diktat de l'homme et des coutumes barbares qui les privent de tout choix ...l

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